Sytrys
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 .::Le Dalpin::.

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Masculin Nombre de messages : 306
Localisation : Derrière mon livre, ton histoire.
Date d'inscription : 13/02/2009

Caractéristiques
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MessageSujet: .::Le Dalpin::.   .::Le Dalpin::. Icon_minitimeDim 25 Oct - 18:53

Vous retrouverez l'ensemble de ces descriptions dans chaque section appropriée du forum ^^.

Les Montagnes Sacrées
  • Les falaises d’Oxbère
    Oxbère est le siège d’un curieux phénomène climatique qui attire la plus incroyable communauté de scientifiques et d’originaux de Sytrys. Le long des falaises de craie, des courants aériens permettent de se précipiter du sommet et de s’envoler…du moins lorsque le vent est ascendant. Ce dernier change en effet de sens en fonction de la saison, du sens des marées, de la couleurs des premières renoncule et surtout de l’humeur de Ülhu. Ainsi, tous ceux qui caressent le rêve d’imiter les dragons viennent y tester leurs machines volantes et autres aérobidules improbables tandis qu’un groupe d’haruspices et divinateurs de tous pois fait fortune non loin.
    Par ailleurs, et sans que l’on puisse comprendre pourquoi, c’est à Oxbère que viennent au monde la grande majorité des Ya-Yawlang, ces philosophes qui lévitent lorqu’ils sont assaillis de visions divinatoires.
  • Les Monastères perchés
    Dans cette région montagneuse loin de tout, chaque mont, chaque pic comporte un monastère tsaoliste d'obédience divergente. Si méditation, spiritualité et vapeurs d'opale (une puissante drogue hallucinogène) sont les mamelles de la philosophie de vénérable Yä-Yawlang, chacune de ses paroles peut être interprétée d'une manière subtilement différente.
    Vu de l'extérieur, tout ceci est fort stupide et se manifeste essentiellement par la volonté de chaque monastère de posséder une tour plus haute que celle du voisin: les moines se livrent à une concurrence architecturale acharnée d'où les coups bas, bien que formellement interdits, ne sont pas exclus. Ainsi, l'étranger audacieux et pugnace (il lui faudra affronter des températures bien inférieures à zéro, des armées de prédateurs tapies dans la neige ainsi qu'un relief comportant bien plus de montées que de descentes) sera récompensé de ses efforts par un gruau d'opale qui le plongera pendant dix jours et dix nuits d'affilées dans une profonde béatitude. Ensuite, il lui faudra se soumettre aux règles plus ou moins strictes de purification du temple où il a échoué: chasse au mythique Tsahu, précipitation d'une falaise accroché à une corde qu'il aura lui-même tressée, etc. Peut-être aura-t-il l'insigne honneur de participer à une traque à l'abominable troll des neiges - en tant qu'appât, bien sûr.
Le Monorail
Descendant de modestes immigrants des toutes proches îles Thona, réputées pour leur nature inhospitalière et leurs mœurs barbares, la dynastie de Kâ-Tsio a engendré les plus prolifiques inventeurs que le monde de Sytrys ait jamais portés. De l'ancêtre, créateur de génialissime fil à couper le Bheür au petit dernier Kä-Tsio 6ème du nom, concepteur du monorail, cette famille est à l'origine de la plupart des inventions techniques du Dalpin. La légende prétend d'ailleurs que Gheötouv'Hrout, dieu des inventeurs, aurait lui-même fécondé la première femme de la lignée. Gageons que tout ceci n'est que ragots et malveillance jalouse, il n'existe qu'un seul dieu, Hadésia.
Le monorail, quant à lui, est une invention particulièrement audacieuse et astucieuse: un assemblage de wagons glissant sur un rail de pierre est propulsé par une myriade de cerfs-volants. Ce moyen de transport rapide permet de relier Shansa à Puskari en passant par le relais de Sègue, à travers les steppes du Dalpin. De nombreuses marchandises transitent ainsi à destination des monastères ou des mines. Ce n'est guère étonnant, tout ce trafic ne cesse d'attirer une masse croissante de bandits et de trolls blancs. Devant la multiplication d'incidents fâcheux et de regrettables massacres, un corps expéditionnaire de volontaire montés sur de puissants dracosaures à poils long à été créé. Mené par la pétulante Yä-Walree, cette petite armée efficace et bien entrainée parvient à maintenir une paix relative le long de la ligne.

Les plaines
Je crois que je vais vous annoncer une grande nouvelle…les plaines…et ben…elles ressemblent à…des plaines ! *se sent très fière de cette touche d’humour, le premier qui critique se prend la porte*. Le climat y est plutôt tempéré, de violent orage pouvant régulièrement éclatzr, les montagnes proches coinçant les nuages au-dessus des plaines. La légende raconte qu’Ühlu, grand voyageur de renom, aimerait s’égarer régulièrement de la banquise pour créer tornades et ouragans dans les plaines. Par conséquent peu de fermier son assez fous pour y laisser paitre leurs bêtes, préférant de loin les douces plaines de Bähl, dans l'Arlor. Cependant il est possible de croiser de temps en temps quelques troupeaux, quelques bovins assez massifs et au pelage assez épais pour supporter les caprices d’Ühlu.
  • Tsyne-Broal.
    L’isthme de Tsyne-Broal est constitué d’une mince bande de terre qui marque la frontière entre le Haut et le Bas Darshan et sépare l’Océan Sytriosite de la Mer de Crédule. Pour passer de l’un à l’autre, les navires sont tirés sur la berge, soigneusement calés sur des rondins lubrifiés, puis halés par des centaines d’hommes sur les quelques lieux qui séparent les deux rives. Il eut été sans doute plus pratique de percer un canal mais cela aurait remis en cause toute l’économie de la région. À Tsyne comme à Broal, on est rouleur de navire de père en fils et propriétaire de bordel de fille en mère. Ainsi, tandis que leurs navires progressent lentement à la sueur du front des rouleurs, les marins peuvent à loisir profiter des geishas et de leurs massages intimes tout en consommant de la bière d’algues et du fû-ghû farci.
  • Les contes de Dyoseth.
    Situé à l’embouchure du fleuve Sègue, la ville-barrage de Dyoseth est un véritable bijou d’architecture. Elle est implantée sur une gigantesque muraille regorgeant de rouages et autres mécanismes destinés à transformer la force des eaux déferlantes en énergie mécanique qui servira à faire tourner les moulins ou les forge de la ville.
    Mais Dyoseth est surtout connue pour ses conteurs énigmatiques : une confrérie sectaire qui a élevé la transmission orale des mythes au rang d’art majeur. Ses membres se produisent contre de fortes sommes d’argent et narrent les légendes à un public toujours nombreux. On murmure que parfois Hadésia s’amuserait à rendre réel les histoires des conteurs de Dyoseth.
  • Rêve, chaudron rouge et joies du mariage
    La pointe est du Dalpin comprend une bien curieuse région aussi agréable que redoutable, un véritable piège pour les mâles au poil gominé, portant gourmette en or et peigne dans le pagne. Cette région se distingue du reste de Sytrys par l’importance accordée aux femmes dans ses sociétés. Ainsi, il n’est pas rare de croiser une capitaine des gardes ou une chef de la milice et toute attitude machiste risque fort de conduire un héros peu galant vers le mitard le plus proche. Cette tradition trouve son paroxysme dans la ville de Rêve, où tous les postes à responsabilités sont aux mains de femmes protégées par une cohorte de lois toutes plus castratrices les unes que les autres.
    Mais le pire est sans doute Chaudron Rouge, un site d’une exceptionnelle beauté réputé pour ses bains de boue, ses lacs d’eau chaude, ses geysers bouillonnants et ses futures épouses. En effet ; en ces lieux de détente, chaque représentante de la gent féminine constitue un véritable (et, pour la plupart, superbe) appât.
    Mandatées par Rêve afin de « recruter » de nouveaux mâles à exploiter, elles sont prêtes à tout pour vous conduire à l’autel. Les procédures sont d’ailleurs particulièrement simplifiées et les contrats de mariage écrits en petits caractères. L’engagement minimal est généralement conjugales pluriquotidiennes. Heureusement, l’influence de Rêve ne dépasse guère la région.
La banquise septentrionale
  • Ville: Imotes
    Avec ses dizaines de yourtes en peau de krök et ses quelques baraques de bois, Imotes tout entière suit la route de migration des glömous : de répugnants crustacés dont les entrailles, une fois préparées et patiemment roulées à la main par de jeunes vierges, constituent l’un des mets les plus raffinés et les plus rares de Sytrys. Cette industrie est très sérieusement encadrés par une armée de Bushidaïs qui surveillent les entrées, les sorties et les mouvements de la ville. Comme il n’y a pas de petits profits, Imotites pratiquent aussi la chasse au krök, un impressionnant prédateur dont la fourrure fournit un excellent isolant contre le froid.
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